Un voyage épique entre mythes grecs et géopolitique moderne
Bienvenue dans l’univers où les dieux de la mythologie grecque croisent les événements géopolitiques actuels. Aujourd’hui, nous allons analyser pourquoi l’assassinat de Yahya Sinwar, le leader du Hamas, n’a pas changé grand-chose (selon le CFR), et ajouter des créatures mythologiques pour pimenter la discussion. Préparez-vous à un mélange d’Hydre d’Iran, de Benjamin Netanyahu en Ishtar et de la résurrection divine de Trump. Attention, fou rire garanti !
L’analyse du CFR : “La mort de Sinwar ne change rien”
Le Council on Foreign Relations (CFR) a récemment publié un article affirmant que malgré l’assassinat de Yahya Sinwar, Israël n’est pas plus proche d’un cessez-le-feu ni d’une victoire contre le Hamas. L’idée est simple : tuer un leader du Hamas, c’est comme couper une tête d’un monstre… mais attendez, ça vous rappelle quelque chose ?
Le CFR explique que chaque fois qu’Israël élimine un chef du Hamas, un autre prend sa place, et ainsi de suite. Pas de surprise, c’est le principe même du leadership dans une organisation comme le Hamas. Pour Israël, couper la tête du Hamas ne règle pas le problème. SPOILER : c’est là que le mythe de l’hydre de Lerne entre en scène…
Connaître les héros et monstres : les mythes originels
L’hydre de Lerne : le monstre à plusieurs têtes
Dans la mythologie grecque, l’hydre de Lerne est un serpent géant avec de multiples têtes. Chaque fois qu’Héraclès (ou Hercule, pour les fans romains) coupait une tête, deux autres repoussaient à sa place. Ce monstre terrifiant est l’illustration parfaite de la situation décrite par le CFR : détruire une tête du Hamas et… oh surprise, deux autres apparaissent !
L’hydre d’Iran : l’Iran métamorphosé en monstre
Dans notre version moderne, l’hydre, c’est l’Iran, et ses multiples têtes sont ses fameux partenaires régionaux :
- Hezbollah – la tête libanaise, spécialiste des missiles surprise.
- Houthies – la tête yéménite, championne des drones.
- Hamas – la tête gazaouie, maître des tunnels.
Israël, ou plutôt Netanyahu en mode Héraclès, essaye désespérément de couper ces têtes, mais rien à faire, elles repoussent deux fois plus vite que les réseaux sociaux ne peuvent tweeter l’info ! Et soyons honnêtes, à chaque fois que l’une de ces têtes se fait couper, l’Iran applaudit doucement en coulisses, comme un coach secret de l’hydre.
Moralité : même si vous pensez avoir vaincu un problème, préparez-vous à ce qu’il se multiplie !
Ishtar descend aux enfers : Israël face à l’épreuve ultime
Passons maintenant à Ishtar (ou Inanna), la déesse mésopotamienne de la vie, de la guerre, et de la fertilité. Dans notre réécriture moderne, Ishtar, c’est Israël et plus précisément Benjamin Netanyahu qui tente de descendre dans les Enfers (la guerre contre le Hamas) pour triompher de la mort (le Hamas, bien sûr).
Le problème ? Tout comme Ishtar dans le mythe, Netanyahu doit passer par sept portes infernales, à chaque fois abandonnant un précieux attribut royal (on peut lire : un morceau de son pouvoir ou de son influence).
Les sept portes infernales pour Netanyahu-Ishtar
- Crédibilité internationale (la couronne)
- Le CFR l’a dit : Israël perd de plus en plus sa crédibilité sur la scène mondiale. Imaginez Netanyahu retirer sa couronne et la jeter en disant : “Pas de problème, je la récupère à la sortie !”
- Soutien moral (les boucles d’oreilles)
- Le soutien moral, notamment des jeunes générations dans le monde, s’évapore. Netanyahu se débarrasse de ses boucles d’oreilles, en mode désinvolte, “Mes boucles d’oreilles ? Bof, c’est so 2010 !”
- Alliés internationaux (le collier)
- Les alliés internationaux d’Israël s’éloignent un peu plus à chaque porte. Netanyahu pourrait dire : “Alliés ? Pas besoin, j’ai une stratégie solide… Je crois…”
- Cohésion interne (les bracelets)
- En passant la quatrième porte, Netanyahu-Ishtar doit abandonner ses bracelets, symboles de cohésion interne, tandis que les tensions politiques et sociales en Israël montent. “Et voilà, les bracelets aussi, ils n’étaient pas assortis à ma tenue !”
- Légitimité morale (la ceinture)
- Perdre la légitimité morale ? Pas de problème, à ce stade, Netanyahu pourrait dire : “Laissez tomber la morale, on est en mode survie ici !”
- Infréquentabilité (la robe)
- Israël devient de plus en plus infréquentable sur la scène internationale. Netanyahu-Ishtar se débarrasse de sa robe avec une pointe de sarcasme : “Bon, qui veut encore m’inviter à un dîner diplomatique ? Personne ? Tant pis !”
- Population-cible (dernier vêtement)
- La population israélienne devient une cible, et Netanyahu-Ishtar se retrouve totalement démuni, un peu comme Ishtar, nue devant Éreshkigal. “Bon, là, c’est vraiment la galère…”
Moralité : parfois, pour vaincre de grands défis, il faut faire des sacrifices et trouver de l’aide extérieure.
L’intervention divine : Trump, le sauveur inattendu ?
Dans le mythe original, Ishtar est finalement sauvée par une intervention divine. Dans notre version moderne et farfelue, cette intervention divine pourrait bien s’appeler Donald Trump ! Eh oui, qui d’autre pour négocier une résurrection géopolitique qu’un ancien président réélu en novembre 2024 ?
Imaginez la scène : Netanyahu-Ishtar est coincé aux Enfers, démuni, sans ses attributs royaux, quand soudain… une lumière éblouissante ! Trump arrive, en costume de super-héros doré, prêt à sauver la situation avec sa “Deal of the Century 2.0”. “Netanyahu, buddy, j’ai la solution à tous tes problèmes, crois-moi !”
Lui redonnant un à un ses attributs royaux, Trump pourrait bien faire renaître Israël de ses cendres, et donner à Netanyahu l’opportunité de remonter à la surface avec la gloire… et quelques tweets bien placés.
Un mythe moderne plein de rires et de réflexions
Entre l’analyse sérieuse du CFR qui nous dit que tuer Sinwar n’a pas changé grand-chose, et notre réécriture mythologique moderne où Netanyahu se transforme en Ishtar et combat l’hydre d’Iran, il est clair que la géopolitique est bien plus fun qu’elle en a l’air.
Ce mélange de mythologie et d’actualité nous montre que, parfois, même les plus grands leaders doivent traverser des épreuves infernales avant de trouver une solution divine… ou électorale.
En attendant, continuons d’apprendre, de rire, et de chercher des solutions… en espérant que notre Héraclès-Netanyahu ne coupe pas trop de têtes de l’hydre en un seul coup !