Une année après le début de l’invasion, les objectifs de Moscou restent flous, laissant perplexes observateurs et citoyens russes.
En 2024, l’Assemblée nationale vote une réforme constitutionnelle élargissant le corps électoral pour les élections provinciales à tous les citoyens résidant depuis au moins dix ans. Imaginez un Français vivant en Martinique ne pouvant voter dans sa ville car il n’a pas dix ans d’ancienneté. Bien sûr, en étant Français, il devrait pouvoir voter où il habite, non ?
Ah, la voilà, cette pépite d’interview réalisée le 13 mars 2024 avec David Ochmanek, le maestro de la stratégie militaire à la RAND Corporation.
Qui a dit que les relations internationales étaient ennuyeuses ? Certainement pas lorsque vous avez un bon vieux différend gazier russo-ukrainien de temps en temps, ou une petite guerre d’Ossétie du Sud et d’Abkhazie en 2008 pour pimenter les choses.
Dans les méandres de la diplomatie internationale et des conflits armés, les raisons qui sous-tendent les actions des grandes puissances ne sont souvent que partiellement dévoilées. Alors que l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022 a été justifiée par la nécessité de contrer l’avancée de l’OTAN, et condamnée par l’Occident comme une manifestation de l’impérialisme russe, une autre dimension, plus fondamentale, se profile : la lutte pour les ressources. Dans cet article, nous explorons une hypothèse audacieuse mais plausible : la véritable raison de la guerre entre la Russie et l’Ukraine réside dans une lutte pour l’accès aux ressources alimentaires, exacerbée par les changements climatiques.
La transition vers une économie mondiale basée sur des sources d’énergie plus durables et diversifiées connaît un nouvel élan, marqué par une demande croissante de minéraux essentiels tels que le lithium, le cuivre et le nickel.
L’erreur que font très souvent les êtres humains, c’est de déshumaniser le mal. Comme si le diable était un monstre sans cœur et ne pleurait jamais. Poutine, Hitler, Napoléon, Netanyahou et même Staline ont pleuré. Quelle est leur faiblesse ? Être le héros d’une idée, en somme faire triompher la Gloire d’un mythe, d’une cosmogonie, d’un héritage, d’une histoire, d’un peuple, d’une civilisation et ainsi devenir immortel.
Gabriel Attal, notre tout nouveau Premier Ministre, a pris la parole à l’Assemblée Nationale, retransmise en direct sur toutes les chaînes, sauf peut-être Gulli et Pink TV. Vous vous demandez certainement ce que notre cher Premier Ministre avait à nous dire. Laissez-moi vous guider à travers cette épopée d’idées lumineuses, sans aucune once de sarcasme ou d’ironie.
Ah, 1945 ! L’année où les États-Unis, en véritables chevaliers en armure étincelante, ont façonné le Nouvel Ordre Mondial avec la création de l’ONU. La démocratie, le libre-échange, tout semblait parfait dans le meilleur des mondes – du moins sur papier. Les Accords de Bretton Woods et le dollar américain sont devenus les piliers d’une stabilité économique mondiale, aussi solide que le Titanic avant de rencontrer son fameux iceberg.
En Allemagne, plus de 1,4 million de personnes ont récemment pris les rues pour manifester contre l’extrême droite et l’AfD, dans un élan démocratique que certains qualifient d’historique. Mais attendez… n’est-ce pas un peu trop facile ? Un peu trop… pratique ?